Avenir Latin Grec / Les “progressistes” au chevet des langues anciennes

Pourquoi ce billet ? Il y a un an l’enseignement des langues anciennes subissait le coup le plus terrible depuis sa transformation en option : il devait tout simplement être englouti dans d’autres disciplines, sans plus d’horaire ni de programme, bref disparaître.

Certains, parce qu’ils en étaient en partie responsables (il ne fait aucun doute que les langues “anciennes” – par définition – ne peuvent que s’opposer au “progrès” scolaire), se sont alors activés pour applaudir cette disparition, avec parfois une tartufferie ou une obscénité sidérantes.

Puis, s’inquiétant de l’émoi suscité, ils se sont activés pour relativiser, masquer cette disparition devenue, par compromis, une amputation brutale. Comment ceux qui se présentent comme des “progressistes” (membres ou responsables de syndicats réformistes mais très minoritaires, militants pédagogiques de l’école nouvelle etc.) ont-ils accompagné, par leur parole bruyante ou par leur silence assourdissant, cette disparition dans la presse, sur les blogs ou sur les réseaux sociaux ?

Comme on va le voir, avec le feu roulant de ces défenseurs zélés…

Lire l’article complet de Loys Bonod sur http://avenirlatingrec.fr

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