Tag Archives: épigraphie

Armae / Gladiatrice ? Mais si, c’est possible !

La reconstitution historique romaine présente tout de même une petite difficulté… qui est loin d’être aussi facile que cela à régler, si on y réfléchit bien… La société romaine de l’antiquité reléguait les femmes dans des rôles tout de même un peu subalternes. Certes, les femmes pouvaient manoeuvrer plutôt plus librement qu’à d’autres époques, mais c’est assez difficile à mettre …

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The Petrified Muse / La poésie latine et les limites de la médecine romaine

Coming from a literary (rather than an epigraphical) perspective, there is a view that doctors and medical personnel in general, if not the subject of mourning themselves, tend to get a rough deal in Latin epigrams (see e. g. Schatzmann’s comment on scoptic epigrams here [text in German]). This view is furthered by sentiments such as the elder Pliny’s famous …

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The Petrified Muse / La mystérieuse épitaphe d’un homme pauvre à Tarragone

The earlier (prose) inscription, on the right, reads as follows (CIL II ed. alt. 14/2, 1079 = RIT 218): L(ucio) Fuficio Mevan(ia) Prisco vet(erano) leg(ionis) VII G(eminae) F(elicis) et Flaminiae Melete uxsori et Domitiae Saturninae adfini Fuficia Germana lib(erta) h(eres) f(ecit). For Lucius Fuficius Priscus of Mevania, veteran of the Legio VII Gemina Felix, and Flaminia Melete, his wife, and …

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The Petrified Muse / Violence domestique racontée en poésie sur des pierres

One of the remarkable things that the poet expressed in this text – stressing it as noteworthy, it would seem – was that she never had to endure any physical abuse (lines 5-6): non gravibus vinc(u)lis unquam consueta teneri verbera nec niveo corpore saeva pati unaccustomed ever to be restrained by heavy harnesses or to endure savage beatings with my …

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Epitaphe de Margarita, petit chien gaulois

The inscription on this marble plaque, which is preserved and on display in the British Museum in London (CIL VI 29896 cf. p. 3734 = CLE 1175; for the entry in the BM online database follow this link), reads as follows: Gallia me genuit, nomen mihi divitis undae concha dedit, formae nominis aptus honos. docta per incertas audax discurrere silvas …

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DIIS MANIBVS SACRVM : lire des inscriptions funéraires en lecture dynamique

Durant cette séquence les élèves se servent d’une lecture dynamique et inductive pour lire quatre épitaphes. En efet, l’afchage progressif des mots (et même parfois des lettres) leur permet d’émettre des hypothèses qui seront ensuite confrmées ou infrmées. La reprise de mêmes structures au fl des inscriptions leur donne l’occasion de devenir de plus en plus sûrs de leurs hypothèses. …

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Quelques mots d’amour latins…

L’Ashmolean Museum d’Oxford tient à faire connaître ses vastes collections archéologiques et artistiques. Pour ce faire, un blog a été mis en ligne où de nombreuses pièces sont expliquées, notamment ses inscriptions latines. A l’occasion de la Saint Valentin, un article a été consacré aux mots d’amours latins : Love Letters – How did the Romans write about the people …

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Comment les Romains donnaient-ils l’année (la date) avant l’invention du « avant/après Jésus-Christ » ?

For those of us who’ve grown up describing years as BC and AD, it can be hard to imagine doing it any other way. But describing a date as Before Christ or Anno Domini is based on a Christian tradition that began in the 6th century. So what did the Roman use before then? ● A lire sur : http://www.ashmolean.org/

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Paris en latin de Laurence Gauthier et Jacqueline Zorlu

  sous-titre: legenda est Lutecia – grands et petits secrets des inscriptions latines dans la capitale Remontons au temps où Paris était encore Lutèce; quelques inscriptions latines dans la pierre beaucoup plus nombreuses que l’on ne pourrait le croire viennent en témoigner et nous transmettre d’étonnants messages ainsi celui inscrit sur un canon:  » Je tuerai ou je disparais ». C’est …

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