Présentation de l’éditeur :
Douze ans ont passé depuis le jour tragique qui vit le père d’Aelio mourir en pleine course de chars. Et le jeune homme ne s’est promis qu’une seule chose : ne pas connaître le même destin. Mais ce dernier distribue les cartes à sa guise. Qu’il le veuille ou non, Aelio a hérité du don familial pour comprendre et dresser les chevaux. Un talent qui l’emmènera jusqu’au Colisée de Rome. Pour l’honneur de son père. Pour la gloire des vaincus !
Vous pouvez découvrir les premières planches sur le site de l’éditeur.
Pour rappel, la présentation de la série par l’éditeur :
[amazonjs asin=”280363497X” locale=”FR” tmpl=”Small” title=”Gloria Victis, Tome 2 : Le prix de la défaite”]Il y eut une époque où certains mortels devinrent des dieux.
À cette époque, il y a deux mille ans [dans le tome 1, l’histoire commence en Hispanie, en 156 apr. J.-C.], des hommes devinrent des légendes en risquant leur vie pour divertir les foules. Des auriges mythiques qui, juchés sur leurs chars et imitant Apollon, s’affrontaient dans l’arène.
C’est l’histoire de l’un de ces héros: Aelio Hermeros, peut-être l’un des meilleurs pilotes de char de tous les temps.
Un mortel immortalisé dans la mémoire de ceux qui le virent courir, qui furent témoins de ses défaites, de ses victoires, de son sang versé et surtout de sa gloire…